Comme disent les Suisses, quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend : on a bien raison de penser ce qu'on pense !
Conté hier par Frédéric Renaud, que je salue au passage.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Grattage de crâne, caresses céphaliques et de la fuite dans les idées. Fictions réalistes et réalités fictives
1 commentaire:
T'as bien raison d'écrire ce que tu écris!
Publier un commentaire