jeudi, octobre 07, 2004

Sablier

À un Sahara de toi
L'aridité d'un malentendu
Les regards cachés, voilés
Derrière les dunes

Poussières
La trame des absences
S'effiloche sous nos doigts
En soupirs de verre

Souffles rauques
Craquèlement des voix
Et les pas qui s'enlisent
Dans les sables émouvants

AA, tes seins sont blancs, mes mains si sales...

7 commentaires:

Daniel Rondeau a dit...

Pis y'est où le chameau?
:P
Heureux de voir ton blog ouvert!

Lagreff a dit...

Le chameau ? Ben, y'é au bar, c't'affaire ! Pas fou, lui. Et un grand merci Dan de m'avoir fait découvrir ce nouveau médium.

marie deschênes a dit...

yeah! un nouveau blog avec de la poésieee! j't'ajoute à mes liens!

marie deschênes a dit...

ah! oui! je te replace, enfin je crois. t'es bien le jean-françois derrière le bar ? moi je suis "marie-catherine"... contente de te voir ici, parmi le microcosme des blogs!

Lagreff a dit...

On ne peut rien vous cacher, chère Marie ; oui, derrière le bar et bien souvent devant... Merci de ta bienvenue !

Lagreff a dit...

Bien sûr que je vous replace, Isatou (comment t'oublier ?) et Alex (à la soirée de contes), que je m'empresse d'aller lire séance tenante. Tiens, Dan avait omis de me parler de ses défaites...

Daniel Rondeau a dit...

Eh! Oh!
Des défaites aux échecs, sémantiquement, ce sont des victoires!