La maison des hurlements
Orgueil et incompréhension
Pleine de silences éventrés
Bâtie sur la boue
Du doute
La jalousie siffle
Dans les interstices
Lugubres acouphènes
À rendre dément
Les loco-locataires
La haine postillonnée
Frappe des murs sans oreille
Hante les corridors
Les cris s’amoncellent
Fumier dans le grenier
Déménager serait vain, il faut refaire les fondations
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1 commentaire:
Très joli texte.
Ça ne donne pas envie d'être dans cette maison...
Finalement on n'est peut-être pas si mal dans notre igloo!
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